osmanli
Voir aussi: Osmanli
étymologie
Du turc Osmanlı dérivé du nom du sultan turc Osman.

adjectif

SingulierPluriel
Masculinosmanli
\ɔs.mɑ̃.li\
osmanlis
\ɔs.mɑ̃.li\
Fémininosmanlie
\ɔs.mɑ̃.li\
osmanlies
\ɔs.mɑ̃.li\

osmanli \ɔs.mɑ̃.li\ masculin

  1. ottoman#fr|Ottoman.
    • Avec la campagne de Perse, dont ni Mehmed Pacha ni le serasker Mustafa ne virent la fin, l’Empire osmanli atteignit les rivages de la mer Caspienne et de l’océan Indien.(Radovan Samardžić, Mehmed Sokolovitch, Éditions L'Âge d'Homme, 1994)
    • Les participes déclinables jouent un rôle très-important dans la langue osmanlie. (A. Chodzko, Le Drogman turc donnant les mots et les phrases les plus nécessaires pour la conversation, éditeur B. Duprat, 1854)
    • Qu'apportent à la compréhension des faits ces nouveaux spécialistes, qui peuvent souvent lire le vieux turc osmanli (en alphabet arabe). (Pierre-Yves Le Priol,- Les historiens turcs s'y mettent- Journal La Croix, page 15, 16 avril 2015)

Osmanli
étymologie
Du turc Osmanlı dérivé du nom du sultan turc Osman.

nom

SingulierPluriel
osmanliosmanlis

Osmanli \ɔs.mɑ̃.li\ masculin

  1. Ottoman.
    • La discorde régnait chez les Osmanlis occupant la ville de Qars, où les deux grands barons Sagh-Agha et Sol-Agha, c’est-à-dire les seigneurs de droite et de gauche étaient en guerre l’un contre l’autre , au sujet de l’autorité, et s’étaient rendus à Erzroum, chez le principal commandant ou grand pacha, pour qu’il décidât entre eux. (Thomas Ardzrouni, Arhakeln, Collection d’historiens arméniens, Académie impériale des sciences, 1874)
    • les Osmanlis ont su, dans un temps, s’approprier la terre des vaincus, mais ces terres sont devenus des déserts arides entre leurs mains. (Baptistin Poujoulat, Voyage à Constantinople, dans l’Asie Mineure, en Mésopotamie, à Palmyre, en Syrie, en Palestine et en Égypte, éditeur Ducollet, 1840)
  2. (Par extension) Turc.
    • Le camp des Osmanlis fut pris et saccagé : le pacha eut à peine le temps de rentrer dans Hama, poursuivi par les Wahabi qui y mirent le siège. (Lamartine, Voyage en Orient, éditeur Adolphe Wahlen, 1837)
    • Les Osmanlis turcs portent rarement le turban ; ils se coiffent d’un bonnet de drap ou kaouk à fleurs d’or. (L'Asie d’aprés les voyageurs les plus célèbres)



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