ouvre
forme fléchie

ouvre \uvʁ\

  1. Première personne du singulier de l’indicatif présent de ouvrir.
    • Te fâche pas, Jo, qu’il a rambiné très papelard, à toi la parole, je ne l’ouvre plus. (Jo Barnais [Georges Auguste Charles Guibourg, dit Georgius], Mort aux ténors (roman), Gallimard, 1956, chapitre XIX)
  2. Troisième personne du singulier de l’indicatif présent de ouvrir.
    • « Après » se désadverbialise et se transfigure, d’un coup de baguette enjambante, en locution conjonctive : nouveau rebond de la clôture annoncée, cet « après que » ouvre sur un au-delà. (Jean Pierre Giusto, in Les voyageurs de l’infini, Presses universitaires de Valenciennes, 2002)
    • La porte s’ouvre. Entre un homme d’une cinquantaine d'années vêtu d’un costume sombre et strict comme celui d’un clergyman, chemise blanche et cravate noire, un air de componction et de suffisance, le visage rose et les cheveux gris teintés de violet. (Philippe Labro, Un Été dans l’Ouest, 2013)
  3. Première personne du singulier du présent du subjonctif de ouvrir.
  4. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de ouvrir.
  5. Deuxième personne du singulier de l’impératif de ouvrir.
    • Ouvre donc tes portugaises et essaie de comprendre aussi vite que moi. (Jo Barnais [Georges Auguste Charles Guibourg, dit Georgius], Mort aux ténors (roman), Série noire, Gallimard, 1956, chapitre XI, page 94)
forme fléchie

ouvre \uvʁ\

  1. Première personne du singulier du présent de l’indicatif de ouvrer.
  2. Troisième personne du singulier du présent de l’indicatif de ouvrer.
  3. Première personne du singulier du présent du subjonctif de ouvrer.
  4. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de ouvrer.
  5. Deuxième personne du singulier de l’impératif de ouvrer.



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