paralysie
étymologie
Du latin paralysis, du grec παράλυσις « relâchement »

nom

SingulierPluriel
paralysieparalysies

paralysie \pa.ʁa.li.zi\ féminin

  1. (Médecine) Privation ou diminution considérable de la sensibilité et du mouvement volontaire.
    • Puis, vers la fin de cette année, le bonhomme fut enfin, à l’âge de quatre-vingt-deux ans, pris par une paralysie qui fit de rapides progrès. (Honoré de Balzac, Eugénie Grandet, 1834 ; p. 343 de l’éd. Houssiaux de 1855)
    • Marcoul reposait de si étrange façon qu'elle courut chercher l’officier de santé au village, mais c'était vain de lui poser des sangsues derrières les oreilles et de lui inciser les lobes : la paralysie avait envahi les deux cotés du corps. (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
    • En août, Proust apprend le suicide par pendaison, à Londres, d'Emmanuel Bibesco qui souffrait de paralysie faciale. (Cyril Grunspan, Marcel Proust: Tout dire, Portaparole, 2005, page 67)

traductions


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