savart
étymologie
nom
nom
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étymologie
- (Nom commun 1) (XIXe siècle) Antonomase de Félix Savart.
- (Nom commun 2) Peut être du latin savarda
nom
Singulier Pluriel savart savarts
savart masculin
- (musique) Mesure fine des intervalles basée sur l'échelle logarithmique.
- Par définition, deux notes dont l'intervalle (f1/f2) est égal à dix ont des hauteurs qui diffèrent de mille savarts.
- Dans la gamme chromatique tempérée, le demi ton tempéré vaut 25 savarts.
nom
savart masculin
- (Champagne) Sorte de steppe rase qui végète sur une rendzine calcaire.
- Les teppes de la Côte d'Or, les savarts de Champagne décrits par LAURENT [89], de même que les collines crayeuses du Haut-Boulonnais (…) et les pelouses xérophiles atlantiques (…), offrent une végétation qui les rapproche de nos garides calcaires sous-vosgiennes […]. (
Gustave Malcuit, Contributions à l’étude phytosociologique des Vosges méridionales saônoises : les associations végétales de la vallée de la Lanterne ↗, thèse de doctorat, Société d’édition du Nord, 1929, [//ori-nuxeo.univ-lille1.fr/nuxeo/site/esupversions/6cfe60d7-a710-46a8-b32d-4a32b4c31a74 p. 110]) - Ces divers phylums ont des formes de dégradation très nombreuses. Citons, par exemple : les Savarts de la Champagne, sortes de steppes-pelouses desséchées en été, […]. (Henri Gaussen, Géographie des Plantes, Armand Colin, 1933, p.162)
- Le paysage traditionnel de la Champagne pouilleuse, plaine ondulée, basse composée de craie, sèche (précipitations, déjà peu abondantes (600 mm), rapidement absorbées par la craie) était une pelouse steppique appelée “ savart ”, parcourue extensivement par des troupeaux de moutons (civilisation du Saltus, de FOUCAULT 1990 et auteurs divers) ; de belles photographies peuvent être consultées dans la monographie de LAURENT (1920). (de Foucault, B. & Julve, Ph., (2002). Observations phytosociologiques sur la végétation de la région de Reims (Marne), Bull. Soc. Bot. N. Fr., 55, 3-4, p. 83)
- Les teppes de la Côte d'Or, les savarts de Champagne décrits par LAURENT [89], de même que les collines crayeuses du Haut-Boulonnais (…) et les pelouses xérophiles atlantiques (…), offrent une végétation qui les rapproche de nos garides calcaires sous-vosgiennes […]. (
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